Les 30 merveilles de France
Les merveilles de l'Ouest
Le Mont-Saint-Michel
Perle de l’Occident, chef-d’œuvre d’ingéniosité, d’architecture, d’audace, le Mont-Saint-Michel attire chaque année plus de trois millions de pèlerins et touristes du monde entier. Sur ses quatre kilomètres carrés, l’histoire et la légende se rejoignent, le sacré et le profane cohabitent. Un joyau unique au monde, inscrit au patrimoine mondial de l’Unesco.
Le cap de la Hague
Loin de la centrale de traitement des déchets nucléaires, la Hague est un pays à la beauté sauvage et éclatante, d’une exceptionnelle diversité de paysages. À trente kilomètres de Cherbourg,
cette petite terre greffée à la proue du Cotentin dégage une sensation de bout du monde.
Coup de chien sur Goury
Sur cette pointe la plus septentrionale de Normandie, le vent fait partie du paysage, la brume et l’écume sont des fidèles. Au premier plan, l’étonnant abri octogonal du canot de la SNSM, puis le phare. Ensuite, c’est le raz Blanchard – dangereux – puis l’île d’Aurigny. Voilà un paysage qui remue, qui secoue les tripes.
Étretat
Entre Le Havre et Fécamp, Étretat est la perle de la Côte d’Albâtre. Célèbre pour son Aiguille creuse, chère à Arsène Lupin, ce site aimante les touristes depuis le XIXe siècle. Les falaises d’Étretat ont inspiré nombre d’écrivains. Victor Hugo parlait tout simplement de « la plus grande architecture qu’il y ait ». Quant à Guy de Maupassant, il évoquait un « éléphant plongeant sa trompe dans la mer ». Ici, la porte d’Aval et l’Aiguille creuse.
Saint-Jean-de-Luz
Aux portes de l’Espagne, Saint-Jean-de-Luz se love dans l’une des plus belles baies de la côte basque. Louis XIV se maria avec l’infante d’Espagne dans ce port de pêche devenu une station balnéaire très renommée qui a gardé son charme intact.
La dune du Pilat
Classée Grand Site national, la dune du Pilat – ou Pyla – est la star du bassin d’Arcachon. Ce grand cordon de sable blanc, pris entre la pinède landaise d’un côté et l’océan Atlantique de l’autre, est aujourd’hui la plus haute dune d’Europe.
60 000 000 de mètres cubes : la dune du Pilat pourrait contenir 600 fois la cathédrale Notre- Dame de Paris !
Le phare de Cordouan
Planté aux milieux des eaux de l’estuaire de la Gironde, ce phare, considéré comme l’un des plus majestueux au monde, est agé de plus de 400 ans. Situé à environ
sept kilomètres du continent, à égale distance des côtes de
la Charente-Maritime et de la Gironde, le phare
se visite facilement.
On débarque sur l'îlot de Cordouan les pieds dans l'eau ou sur une chaussée empierrée de deux cent soixante mètres de longueur, accessible
à marée basse depuis
un petit embarcadère. Pour compléter la visite du « phare de la passe de l’Ouest », rendez-vous au musée du phare de Cordouan situé dans le phare de la pointe de Grave.
Belle-île-en-Mer
La « belle île » a mouillé l’ancre à une trentaine de milles nautiques de la pointe de Quiberon. L’évoquer, c’est déjà voir se former des vagues de superlatifs.
C’est un fait, l’île a du chien et du charme. Cependant, n’imaginez pas que tout y est forcément luxe, calme et volupté. Les chemins secrets du littoral vous garantissent des fugues très animées.
Au Palais, les quais de l'Yser et Vauban.
Pour la petite histoire : la veuve de Kerdonis
Le 18 avril 1911,
le gardien du feu de Kerdonis, Désiré Matelot, meurt brutalement. Sa femme n’a pas le temps de le pleurer : la lanterne doit être allumée, la tourelle doit tourner. Mais le système d’engrenage se coince. Avec l’aide de ses deux aînés, elle assure la rotation du système d’optique toute la nuit, évitant probablement des naufrages. Inadmissible pour l’administration des Phares qui y voit une faute et veut chasser la veuve. Les Bellilois prennent sa défense, l’affaire enfle et la presse parisienne s’émeut. Tant et si bien que la veuve Matelot reçoit excuses, dédommagements, médailles. Et tout le saint-frusquin, lot des héros maudits !
Les fortifications de Vauban
Saint-Martin de Ré (Charente-Maritime)
Jamais bâtisseur n’aura marqué son pays d’une empreinte plus magistrale. Le nom de Vauban s’attache à cent quarante-huit ouvrages fortifiés de nos frontières, mais la vox populi lui en attribue plus encore tant son influence fut grande. Pas une citadelle en étoile, pas une enceinte bastionnée qu’on ne croit tracée de sa main. En célébrant, en 2007, le tricentenaire de sa mort, la France
a redécouvert plus qu’un ingénieur militaire d’exception : un honnête homme, et l’un des esprits les plus éclairés de son temps. L’année suivante, son œuvre s’inscrivait au patrimoine de l’Humanité.
La Côte de Granit Rose
Entre Perros-Guirec et Trébeurden, la côte armoricaine étire sur une vingtaine de kilomètres un long ruban rugueux de rocs et d’amas chaotiques constitué d’un granit aussi rare qu’unique. 20 kilomètres, de Perros-Guirec à Trébeurden : c’est la plus belle portion de la Côte de Granit rose ; une balade fantastique.
Les monts d’Arrée
Roc Trévezel, 384 mètres d'altitude, entouré de landes, est le second point culminant du Massif armoricain côté breton. Têtu, brut, un peu effrayant quand le ciel s’assombrit, le paysage des monts d’Arrée ne fait pas dans le charme. Et c’est comme cela – et pour cela – qu’on l’aime. Situés à la frontière des anciens évêchés de Léon et de Cornouaille, les finistériens monts d’Arrée offrent une pelisse de bête sauvage, une sorte de toundra où la lande est caressée à rebrousse-poil par les vents. Les crêtes et les tourbières piégeuses constituent un décor fantasmagorique où rôdent, dit-on, l’Ankou et de bien curieuses créatures.
Les merveilles du Nord et de l'Est
Le château du Haut-Kœningsbourg
Splendeur d’Alsace, le château du Haut-Koenigsbourg profite de sa position dominante. Perché, il étire sur la plaine ses deux cent soixante-dix mètres de longueur sur la crête rocheuse. À une vingtaine de kilomètres de Colmar, c'est un château fort à l’architecture et à l’histoire hors du commun.
Place Stanislas, Nancy
Créées au XVIIIe siècle pour faire la liaison entre la ville ancienne et la ville moderne, les places Stanislas, de l'Alliance et de la Carrière ont été inscrites au patrimoine mondial de l’Unesco pour leur beauté et leur modernité. La place Stanislas fut inaugurée en 1755. La statue de Louis XV disparaît à la Révolution, remplacée en 1831 par celle de Stanislas.
Stanislas, le souverain éclairé
Ami des philiosophes, cultivé et bon vivant, Stanislas Leszczynski (1677-1766) est notamment à l'origine de la création de la bibliothèque royale et de l'académie des sciences. Ses châteaux étaient renommés dans toute l'Europe, à l'instar de celui de Lunéville, le « Versailles lorrain ». Le tombeau du roi se trouve en l'église Notre-Dame-de-Bonsecours de Nancy aux côtés de ceux de son épouse et de la reine Marie Leszczynska.
Grand’Place, Lille
Lieu du marché au Moyen Âge, la place Charles-de-Gaulle, plus connue comme la « Grand’Place », est le cœur de Lille. Magnifiquement réhabilitée, classée monument historique en 1921, elle offre un panorama d’architecture du XVIIe au XXe siècle et fait partie des plus belles places d'Europe. La perle des demeures qui bordent la place, c’est la façade richement déco- rée de la Vieille Bourse, bâtie par l’architecte Julien Destrée au mitan du XVIIe siècle pour offrir un abri aux com- merçants. À l’intérieur de cet édifice rectangulaire, témoignage d'une époque florissante, vingt-quatre maisons s’organisent autour d’une superbe cour à arcades.
Ile-de-France et Centre
Paris sur Seine
Et si c’était la plus belle avenue de Paris ? Sur quinze kilomètres, la Seine se tortille dans son lit, divisant
la capitale en deux rives. Pour découvrir la Ville lumière,
rien de tel que d’emprunter un trimaran de la compagnie Batobus, pour une balade avec escales.
Vu du fleuve, le spectacle parisien se dévoile comme jamais.
La tour Eiffel
Un lifting tous les
sept ans ! La Dame de fer fait peau neuve :
60 tonnes de peinture spéciale sont appliquées sur ses 18 000 poutrelles métalliques par 25 peintres acrobates. Leur méthode de travail n’a guère évolué depuis le XIXe siècle, les harnais de sécurité et une formation préalable pour apprivoiser le vide en plus.
Notre-Dame de Paris
C’est la vedette incontestée des grands monuments parisiens. Avec plus de 12 millions de visiteurs par an, la cathédrale captive les foules. Ce monumental sanctuaire fut élevé à l’initiative de Maurice de Sully, évêque de Paris de 1160 à 1196. Sur le parvis, s’élève la façade ouest dite « harmonieuse » avec ses portails ornés de statues, sa rose de près de 10 mètres de diamètre, ses deux tours culminant à 69 mètres du sol. Au pied de la tour nord, un escalier permet d’accéder aux hauteurs de l’édifice. Par la galerie des Chimères, avec ses créatures nées del’imagination de Viollet-le-Ducau XIXe siècle, vous irez à la tour sud, où vous attend une vue imprenable sur Paris et les toits de la cathédrale.
Le pont Alexandre III
Inauguré lors de l’Exposition universelle de 1900, est l’un des plus élégants de la capitale. Son unique arche de métal, longue de cent neuf mètres, était un exploit technique pour l’époque. Dans son axe, brille le dôme des Invalides.
Versailles
Situé à vingt kilomètres de Paris, Versailles ne cesse d’attirer chaque année des visiteurs venus du monde entier. Plus qu’un château, c’est un immense domaine captivant dont on ne fait jamais le tour.
La galerie des Glaces -
Que serait la galerie sans la transparence un peu trouble de ses 357 miroirs au mercure ? La fabrication de ces miroirs impliquait un mélange à chaud d’étain et de mercure, un procédé très toxique du fait des vapeurs de ce métal. « Depuis 1850, ce procédé est totalement interdit, explique Vincent Guerre, miroitier et antiquaire et à l’origine de la restauration des glaces de la galerie. L’ensemble des miroirs a été traité, seuls quarante-huit ont été remplacés. On s’est rendu compte que plus de 70 % d’entre eux étaient d’origine. Ils avaient été repolis et rétamés sous Louis-Philippe, mais ils avaient surtout bien traversé les siècles. Nous n’avons reposé bien sûr que des miroirs au mercure, qui sont aujourd’hui très rares et très coûteux. Une dizaine vient des magasins du Sénat, et la majorité de mon stock. Nous les avons biseautés à l’identique. »
Les jardins à la française
Les jardins du château de Villandry (Val de Loire).
Maîtriser le paysage. Montrer le triomphe de la géométrie sur le naturel, de l’ordre sur
le pittoresque, de la culture sur le sauvage, pour mieux souligner la puissance et la grandeur
du propriétaire des lieux. C’est l’enjeu très politique des jardins dits « classiques » du XVIIe siècle, dont André Le Nôtre est le virtuose.
Le château de Villandry
C'est le dernier des châteaux Renaissance du val du Loire. Entre Tours et Azay-le-Rideau, partez à la découverte de ce joyau sauvé de la destruction par un particulier, Joachim Carvallo, qui l'acheta en 1906. C'est à lui que nous devons les jardins à la française qu'il a entièrement recréés. Depuis la terrasse, admirez l'ordonnancement au cordeau du jardin d'eau, des jardins d'amour, de la musique, des simples...
Les châteaux Renaissance de la Loire
Chambord
Son parc est presque aussi grand que la ville de Paris : 5 440 hectares ! Le mur qui l’entoure forme un périmètre de 32 kilomètres. Le château compte 426 pièces
et 280 cheminées. Démesuré ? Pas pour François Ier – qui le fait bâtir de 1519 à 1547,
il sera terminé juste avant sa mort – pour finalement n’y résider que très rarement. Le monarque avait même envisagé de détourner le cours de la Loire pour alimenter les douves ! Chambord est inscrit sur la liste du patrimoine mondial de l’Unesco
et reçoit près de
750 000 visiteurs par an.
Chenonceau
Le château de Chenonceau est une réalisation du XVIe siècle : d’abord le corps de logis en 1515, le pont sur le Cher en 1555 puis sa galerie en 1576.
L'abbaye de Cluny
Siège du plus grand ordre monastique d’Occident, Cluny fut au Moyen Âge la plus grande abbaye
de la chrétienté. Bien que l'église romane a été en grande partie détruite à la Révolution, ses vestiges, imbriqués dans la ville qu'elle a fait naître, donnent une idée de l’ampleur de ce complexe religieux.
La chaîne des Puys
À l’ouest de Clermont-Ferrand, la chaîne des Puys forme un exceptionnel ensemble d’une centaine de volcans. Partons à la découverte de ces monts Dôme nés de la violence du feu. Le symbole de cette chaîne, c’est bien sûr
le puy de Dôme, point culminant à
1465 mètres d’altitude. Depuis le printemps 2012, un petit train mène au sommet.
Le puy de Dôme est dit de type péléen complexe par les volcanologues (aucun cratère et aucune trace de coulée de lave). Sur son sommet trône une antenne-relais de télédiffusion. Le site offre, par ailleurs, des tables d’orientation utiles pour se repérer dans ce panorama époustouflant.
Les merveilles du Sud
Albi la rouge
La capitale tarnaise a rejoint les sites classés au patrimoine mondial de l’Unesco. L’occasion de (re)découvrir sa cathédrale aux airs de forteresse rouge, ses hôtels particuliers évoquant l’âge d’or des pasteliers et ses jardins étagés au bord du Tarn... L’essentiel du Vieil-Albi date de la fin du Moyen Âge et du début de la Renaissance, son âge d’or. À cette époque, les marchands albigeois développent le commerce du pastel, une plante locale dont les feuilles fournissent un colorant bleu très recherché. Albi devient alors la capitale du « pays de cocagne ».
Le viaduc de Millau
Tutoyant le ciel aveyronnais, ce pont routier à haubans, le plus haut du monde, est l’un des plus beaux ouvrages d’art de ce début du XXIe siècle. Construit en trois ans
à peine, le viaduc de Millau permet de relier Clermont- Ferrand à Béziers par l’autoroute 75.Avec ses 206 000 tonnes de béton et son tablier d’acier de 36 000 tonnes, soit cinq fois plus que la charpente métallique de la tour Eiffel, cet édifice surplombe la vallée du Tarn.
Les gorges du Verdon
À seulement deux heures de Marseille, le Verdon est un pays parsemé de vignobles, de garrigue, de champs de lavande et de petits villages provençaux. Ses gorges millénaires sont traversées par les eaux turquoise du Verdon. Ce canyon paradisiaque se découvre traditionnellement par la route, par des sentiers ou encore à pédalos, au départ du lac de Sainte-Croix. Mais d'autres alternatives plus originales et plus aventureuses vous permettront de le découvrir autrement !
Rocamadour
Vénérée pour sa mystérieuse Vierge noire, cette cité du Lot était au XIIe siècle considérée
comme le quatrième grand sanctuaire après Rome, Jérusalem et Saint-Jacques-de-Compostelle. Pèlerins et touristes s’y rendent toujours massivement, stupéfaits par ce village qui s’accroche
à la falaise. Rocamadour semble bousculer les lois de l’apesanteur.
Le pont du Gard
C’est l’un des vestiges romains les plus emblématiques de France. Construit au Ier siècle après J.-C., le célèbre pont du Gard, sur le Gardon, était la pièce maîtresse d’un aqueduc long de cinquante kilomètres. Une prouesse technique doublée d’une œuvre d’art. Le nom de son architecte est resté un mystère.
Les canaux
L’écluse à Castelsarrasin sur le canal latéral de la Garonne est à porte simple (Tarn-et-Garonne).
465 voies navigables, toutes catégories confondues, soit environ 8500 kilomètres ! La France détient un record. Depuis le XVIesiècle, et jusque dans les années 1960, on n’a presque jamais cessé d’y aménager biefs, écluses et ouvrages d’art : un patrimoine technologique tour à tour bucolique et monumental, aujourd’hui largement remis à l’honneur.
Vue aérienne sur le canal du Nivernais, près des rochers du Saussois
à Merry-sur-Yonne (Yonne).
Annecy et son lac
Un vieux centre au charme irrésistible avec son entrelacs de canaux et de ruelles médiévales, un lac aux eaux turquoise cerné de montagnes... La Venise savoyarde est un bijou romantique à découvrir en toutes saisons. Lors d’une balade le long des allées du Champ-de-Mars, aménagées à partir du XIXe siècle, on peut admirer le mont Veyrier et la chaîne des Aravis. Droit devant, le parc de l’Impérial Palace, hôtel- casino Belle Époque.
40 kilomètres. Telle est la longueur du tour du lac. Et pour les amoureux de vélo, voilà l'occasion de faire une belle balade... sur terrain plat.
Le Mont-Blanc
S’étirant entre la Savoie, la vallée d’Aoste en Italie et le canton du Valais en Suisse, le massif du Mont-Blanc, depuis toujours, fascine les hommes. En quelques décennies, les exploits sportifs, les défis technologiques, le tourisme ont permis au plus grand nombre d’entrer dans la légende du Géant. Rassasié du panorama sur les aiguilles de Chamonix, l’Aiguille Verte, le glacier de Talèfre, les Grandes Jorasses et la Dent du Géant, descendez vers la Vallée Blanche,
la partie supérieure du plus grand glacier des Alpes françaises. L’aventure se termine par l’arrivée à la Mer de Glace.
Ici, une cordée de randonneurs redescend prudemment du glacier du Géant.
Les merveilles d'Outre-Mer
La Réunion
La Réunion. Enfer ou paradis, le cirque de Salazie ? Au cœur de l’île, près du piton des Neiges, voici le résultat d’un effondrement volcanique.
À l’est de Madagascar, l’île est née d’un jaillissement de lave dans l’océan Indien. Montagne dans
la mer, son relief est concentré sur un caillou de 200 km de diamètre. Balades insolites entre pitons vertigineux, cratères lunaires, forêts primaires, cirques piquetés d’îlets, cascades et torrents...
Le Piton de la Fournaise.
Mayotte
Dans l’archipel des Comores, entre Madagascar et les côtes du Mozambique, Mayotte est devenue en 2011 le 101e département français. L’occasion de découvrir ses deux îles principales, ses îlots et son exceptionnel lagon, classé Parc naturel marin depuis 2010.
La route des Laves. Contrepoint aux couleurs violentes, au foisonnement végétal de l’île. Ici, il n’y a rien, juste de la lave. Plate, droite – au moins sur cette portion –, initiatique et excitante, la route mène au pas de Bellecombe, au départ des excursions vers le piton de la Fournaise, le jeune volcan susceptible qui fait souvent parler de lui.
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